C'est lundi, que lisez-vous ? #25
Le rendez-vous C'est lundi, que lisez-vous ? a été crée par Mallou et repris par Galleane, il consiste à répondre chaque lundi à trois questions :
- Qu'ai-je-lu la semaine passée ?
-Que suis-je en train de lire en ce moment ?
- Que vais-je lire ensuite ?
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Je réponds donc sans plus attendre à ces trois questions :
La semaine passée j'ai terminé L'écume des jours de Boris Vian, une histoire assez déroutante que j'ai vraiment aimé de lire, avec une fin qui laisse bouche bée.
Résumé :Un vétéran cherche à reconquérir sa femme et part la retrouver chez ses parents, là où elle s’est réfugiée après qu’il l’a frappée. Une mère célibataire fait de longs trajets pour aller voir son fils en prison – il a tué un homme d’un coup de poing lors d’une permission. Un infirmier de retour de mission élit domicile dans un réduit de l’arsenal de la garde nationale de New York, incapable de rentrer chez lui. Un journaliste raconte sa vie en Afghanistan, entre ironie et désespoir, avant qu’une bombe ne fasse sauter le café dans lequel il se trouve.
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Résumé :
L'attente comprend deux phases, l'ennui et l'angoisse. La pièce comprend donc deux actes, l'un grotesque, l'autre grave.
Préoccupé de peu de choses hormis ses chaussures, la perspective de se pendre au seul arbre qui rompt la monotonie du paysage et Vladimir, son compagnon d'infortune, Estragon attend. Il attend Godot comme un sauveur. Mais pas plus que Vladimir, il ne connaît Godot. Aucun ne sait au juste de quoi ce mystérieux personnage doit les sauver, si ce n'est peut-être, justement, de l'horrible attente. Liés par un étrange rapport de force et de tendresse, ils se haranguent l'un et l'autre et s'affublent de surnoms ridicules. Outre que ces diminutifs suggèrent que "Godot" pourrait bien être une synthèse qui ne se réalisera qu'au prix d'un anéantissement, Didi et Gogo portent en leur sein la répétition, tout comme le discours de Lucky, disque rayé qui figure le piétinement incessant auquel se réduit toute tentative de production de sens.
Cette pièce composée en 1952, quinze ans avant que Beckett ne soit couronné par le prix Nobel de littérature, est un tour de force qui démontre les profondeurs que peut atteindre un langage en apparence absurde.
Préoccupé de peu de choses hormis ses chaussures, la perspective de se pendre au seul arbre qui rompt la monotonie du paysage et Vladimir, son compagnon d'infortune, Estragon attend. Il attend Godot comme un sauveur. Mais pas plus que Vladimir, il ne connaît Godot. Aucun ne sait au juste de quoi ce mystérieux personnage doit les sauver, si ce n'est peut-être, justement, de l'horrible attente. Liés par un étrange rapport de force et de tendresse, ils se haranguent l'un et l'autre et s'affublent de surnoms ridicules. Outre que ces diminutifs suggèrent que "Godot" pourrait bien être une synthèse qui ne se réalisera qu'au prix d'un anéantissement, Didi et Gogo portent en leur sein la répétition, tout comme le discours de Lucky, disque rayé qui figure le piétinement incessant auquel se réduit toute tentative de production de sens.
Cette pièce composée en 1952, quinze ans avant que Beckett ne soit couronné par le prix Nobel de littérature, est un tour de force qui démontre les profondeurs que peut atteindre un langage en apparence absurde.
Une fois mes deux lectures en cours terminées, je reprendrai Illuminae du duo Jay Kristoff et Amie Kaufman, puis je lirai simultanément le recueil de nouvelles Histoires extraordinaires d'Edgar Allan Poe.
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Et vous que comptez-vous lire ?
Belle semaine à vous !
❤
J'adore illuminae, j"espère que tu aimeras autant que moi :)
RépondreSupprimerBonne semaine à toi !!
Quand j'ai mis en pause Illuminae, j'en étais à la moitié et j'aimais beaucoup ! J'ai hâte de voir ce que me réserve la suite de l'histoire !
SupprimerBonne semaine !
Ha Illuminae, il faut d'ailleurs que je pense à lire le second tome un de ces jours :P
RépondreSupprimerBelle semaine livresque !
Merci beaucoup et à toi aussi !
SupprimerDes lectures tentantes !
RépondreSupprimerBelle semaine !
Aussi intéressantes qu'elles ne paraissent !
SupprimerBonne semaine !